Merci Arnaud et Marc,
@Arnaud : merci du rappel : allonger le tirage déplace la mise au point de l'infini, mais pas dans le sens auquel j'avais pensé
.
Par contre il n'y a pas de lumière parasite dans le tube de l'interface (tout neuf) ni dans le fût de l'objectif; je viens de revérifier.
Pour ce qui est du pare-soleil, c'est une bonne idée; mais ces jours le soleil n'était pas vraiment le problème.
@Marc : merci de cette contribution basée sur tes propres expériences quasiment historiques. Ce retour est utile pour celles et ceux que l'utilisation de telles optiques intéresse.
Il est vrai que le verre fond, coule, avec le temps, on le voit aussi dans les éléments de vitraux originaux datant de plusieurs siècles : la partie basse s'épaissit au détriment de la partie haute (attraction terrestre).
L'histoire de la photographie n'offre pas encore assez de recul, à mon avis, pour constater cela. Je pense que le côté laiteux doit plutôt venir de la chimie utilisée dans certains verres (additifs ?) à certaines époques voire du type de silice.
Mais, pour - peut-être - en terminer sur ce sujet, je dirais qu'il n'y a qu'un intérêt photographique très limité à utiliser un Elmar sur un APN.
Même mes essais antérieurs avec l'excellentissime Summicron-M
f:2 35 mm n'apportent pas grand chose au point de vue résultat optique : une bonne image, sans plus, pas meilleure que celle offerte par l'équivalent d'une optique Fuji conçue pour l'APN.
Je ferai une exception pour
mon attelage macro, avec bagues (voire soufflet, j'ai ça en Nikon aussi) et Micro-Nikkor
f:2.8 55 mm : là, sans bourse délier, je me suis doté d'une capacité macro-photographique améliorée.
Bref : on s'amuse ... mais je dois dire que c'est un plaisir de pouvoir tester de vieux cailloux sans être obligé de passer par le film ... même si les conditions sont biaisées. Les résultats ne sont pas historiquement corrects.