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Konica A4 |
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Fabriqué ou assemblé en Japon de 1989 à (Postérieur à) 1991.
Rareté en France : Courant (dans les vide-greniers non spécialisés)
N° inventaire : 12450
Fiche technique complète
Chronologie des appareils Konica
Historique
1873 Fondation de la société Konishi-ya. Première mise en oeuvre des matériaux photographiques et lithographiques.
1876 Déménagement dans Tokyo. La Société prend le nom de Konishi Honten.
1882 Trois usines sont établies à Tokyo et produisent des appareils photographiques, du papier enduit, et des équipements pour lithographie.
1897 Importation au Japon des premières caméras cinématographiques permettant d’entreprendre une production japonaise de films.
1902 Etablissement d’une nouvelle usine à Tokyo, destinée à produire des plaques et des papiers photographiques. Cette usine est considérée comme le berceau de l’industrie photographique japonaise.
1903 Le premier papier photosensible produit au Japon, le Papier SAKURA type Hakkin, ainsi que l’appareil Cherry, sont introduits sur le marché.
1909 Ouverture de l’Agence d’Osaka. Mise en vente de l’appareil LiIy.
1919 Les usines sont regroupées dans Tokyo, et forment la première organisation photographique de type moderne du Japon.
1921 Cette organisation devient la Société Konishiroku Honten (Honten = quartier général).
1925 Début de la vente des appareils Pearlette.
1929 Début de la vente des films SAKURA (Sakura = fleur de cerisier du Japon).
1933 Agrandissement du quartier général.
1936 La Société devient la Konishiroku C° Ltd. Ouverture d’une agence à Hino, et déménagement de la Division Production des Matériaux Sensibles.
1938 Introduction de l’appareil Semipearl.
1940 La production du premier film couleur japonais, le SAKURA natural Color Film, est annoncée.
1943 La Société prend son nom actuel de Konishiroku Photo lndustry C° Ltd et les usines sont rebaptisées.
1944 Fusion avec la Showa Photo Industries C° Ltd, ce qui ajoute les usines d’Odawara et de Koyama à la société.
1945 Fin de la guerre, entraînant une situation économique chaotique. Une grande réorganisation est assurée pour permettre à la Société de survivre à cette période agitée.
1948 Vente des premiers appareils de marque KONICA, et reprise des exportations.
1963 Inauguration de la grande usine de production d’appareils photographiques de 1967 Début de la vente de la grande nouveauté mondiale le SAKURACOLOR N-100, ainsi que du premier réflex automatique du monde, le KONICA AUTO-REFLEX.
1968 A ce premier appareil reflex automatique (EE) est incorporée la mesure à travers l’objectif (TTL) : il devient le KONICA AUTOREFLEX T. Production, la même année, du premier appareil compact 24 x 36 japonais à télémètre couplé, le KONICA C35.
1969 Développement par la Konishiroku du premier appareil holographique compact du monde.
1970 Début de la vente des machines pour photocopie à sec électrostatiques U-Bix. Mise en vente des SAKURA High Resolution Plate, matériel sensible, à grain ultra-fin et très haute résolution, indispensable pour la fabrication des Circuits Intégrés.
1971 Vente du nouveau SAKURACOLOR. Début de l’exportation de l’U-Bix MARK I.
1973 Célébration du 100e anniversaire de la firme. Adoption du nouveau logotype. Départ pour un nouveau siècle, avec un enthousiasme renouvelé.
Le Mju d'Olympus, sorti en 1991, fit oublier ce joli petit appareil dont la taille, les performances et le design étaient extraordinaires en 1989. Il est temps de le redécouvrir et surtout de le comparer à ce qui se fabriquait au même moment.
Il est d'un gabarit proche de celui d'un Minox 35 ML ... sans l'abattant antérieur !
Son objectif de 35 mm est mis au point par un autofocus efficace. La distance minimale de mise au point est de 60 centimètres, mais une position de mise au point rapprochée descend cette distance à 35 centimètres (voir ci-dessous) ! Sa compacité et cette possibilité de mise au point en font un excellent "bloc-notes" à avoir dans la poche en permanence.
La visée est très confortable et les informations principales sont affichées dans le viseur, en plus de celles de l'écran à cristaux liquides. Ce dernier est situé sur le dos.
Le flash intégré est débrayable. Il peut être utilisé en fill-in et fonctionne également lorsque le mode "rapproché" est activé. Son nombre-guide a de quoi surprendre : 18. Il est alimenté par la batterie au Lithium de l'appareil. Si cette batterie alimente les fonctions principales , une seconde pile alimente l'écran à cristaux et permet la mémorisation des informations y apparaissant. Cette seconde pile se trouve insérée dans l'intérieur du dos, sous le rouleau presseur. Elle doit être changée tous les deux ans.
Les compacts contemporains ne rassemblaient pas toujours de telles performances et surtout, étaient beaucoup plus gros.
Il fut élu "Compact Européen de l'année 1989".
En 1990, Konica dépose au Japon, un brevet ( voir aussi sle N° US5 255 035) pour un système de mise au point géré par autofocus qui permet la prise de vue à moins d'un mètre. Le constat est que la fonction "macro" s'accompagne d'habitude d'un changement de longueur de l'objectif nécessitant un repositionnement de l'appareil. L'invention permet la prise de vue "macro" uniquement par des mouvements internes de l'objectif avec la conséquence que le photographe n'a plus besoin de déplacer son point de vue.
Le modèle existe en noir ou en gris.
n° de série : 2495221
Liens extérieurs ou bibliographie :
 Phot'Argus de 1989 |
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