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Kodak Mickey-matic
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Propriété de Sylvain Halgand. Photo(s) de Sylvain Halgand et texte de Sylvain Halgand. Dernière modification le 2023-03-05 par Sylvain Halgand.

Fabriqué ou assemblé en Etats-Unis de (Circa) 1980 à (Postérieur à) 1980.
Rareté en France : Peu courant (dans les vide-greniers non spécialisés)
N° inventaire : 415

Fiche technique complète

Chronologie des appareils Kodak 

Du début des années 60 jusqu'au milieu des années 80, Kodak fabriqua des milliers d'appareils 126 et 110 répondant au nom générique d'Instamatic (nom déposé en 1962). Des dizaines de versions, y compris celles ne portant pas ce nom, se succédèrent année après année.
L'idée de Kodak n'était pas seulement de vendre ces appareils, mais surtout de vendre les films pouvant être utilisés avec eux. De nombreuses marques emboîtèrent le pas de Kodak et fabriquèrent appareils et films, en payant des droits à Kodak.
Pour atteindre son but, Kodak inventa des cassettes de film très faciles à mettre en place et des appareils d'une grande simplicté d'utilisation.

Film et appareil 126

KodakLe brevet 3 138 081 est publié le 23 juin 1964. Il a été déposé par Kodak et son inventeur s'appelle Hubert Nerwin.

Il s'agit d'un film 35 mm contenu dans un cassette fermée. Asymétrique, elle sert à la fois de bobine débitrice et de bobine de réception. Il n'y a pas de possibilité d'erreur de sens lors de l'insertion dans l'appareil. Le film est perforé d'un seul coté. Le dos est doublé par un papier portant un numéro de vue. On reprend là le principe du regard inactinique au dos des appareils qui évite d'ajouter un compte-vues mécanique. L'appareil ne nécessite qu'un axe d'entraînement, car il n'y a pas besoin de rembobiner le film. La cassette est retournée au laboratoire Kodak dès la dernière prise de vue, sans autre manipulation.

Avec ce système innovant, le photographe ne court plus le risque de mal positionner la languette du début de film ou de déchirer les perforations.
Aussi appelé Kodapak, le 126 était disponible en 20, puis en 24 poses (le 12 poses a existé peu de temps), soit en négatif couleurs, soit en inversible.

Kodak



Film et appareil 110
Kodak 110Le 1er juin 1971, le brevet 3 581 641 concernant un appareil à cartouche est publié. Il a été déposé par Kodak et l'inventeur en est Hubert Nerwin. Il reprend les principes énoncés dans le brevet 3 138 081, en y faisant référence, mais la cartouche est plus petite.

Brevt codage kodakDès 1966, Kodak (inventeur Hubert Nerwin) avait déposé un brevet (3 444 795) pour doter les cartouches de film (qui ressemblent sans être nommées à des 126, 110, film, 135) d'un système de codage permettant aux appareils ou à tout autre machine de reconnaître la cartouche et son contenu. Le système était basé sur des encoches.

Appareils Kodak utilisant le film 110

Lancés plus tardivement que les Instamatic 126, les 110 ne connurent pas les Flashcube.

Les premiers modèles sont destinés à être utilisés avec un Magicube. Ils s'appellent Instamatic, et pour éviter la confusion avec les 126, on précise que ce sont des Pocket Instamatic. Etrangement quelques modèles bien que manifestement membres de la même famille ne portent pas le "Pocket".
Les modèles avec Magicube cèdent la place aux modèles utilisables avec un Flipflash. Les premiers avec Flipflash continuent à utiliser le mot Instamatic, mais leur aspect et leur nom changent ; le capot de protection sert aussi de poignée et le nom devient Ektra.
Les modèles à flash électronique intégré qui apparaissent à la fin des années 70 intègre le mot Lite dans leur nom ; Lite pour Light (lumière). A chacun de ces grands changements, il semble y avoir eu chez Kodak une période de flou où les régles de nommage ne sont pas bien suivies.

Certains modèles échappement complètement à ces régles, ce sont généralement des modèles se démarquant franchement du reste de la production ou réservés à certains marchés.
    Années Objectif Obturateur Pays Divers

Modèles avec Magicube
Pocket Instamatic 20
1972-76 9,5/25 1/40, 1/100 Etats-Unis  
Pocket Instamatic 30
  1972-76 9,5/25 10 à 1/160 Etats-Unis Cellule CdS
Pocket Instamatic 40   1972-75 8/25 10 à 1/225 Etats-Unis Cellule ???
Pocket Instamatic 50
1972-76 2,7/26 10 à 1/250 Etats-Unis Cellule CdS
Pocket Instamatic 60
1972-76 2,7/26 10 à 1/250 Etats-Unis Télémètre
Cellule CdS
Pocket Instamatic 100
1972-76 11/25 1/60 Grande-Bretagne
Allemagne
 
Pocket Instamatic 200
1972-74 11/25 1/40, 1/80 Grande-Bretagne
Allemagne
 
Pocket Instamatic 300
1972-76 5,6/26 1/40, 1/80 Grande-Bretagne
Allemagne
 
Pocket Instamatic 400
1972-76 11/25 20 à 1/300 Allemagne Cellule CdS
Pocket Instamatic 500
1972-76 5,6/25 20 à 1/300 Allemagne  
Pocket Instamatic 10   1973-76 11/25 1/40, 1/90 Etats-Unis  
Pocket Instamatic 101   1974 11/25 1/60 Grande-Bretagne  
Instamatic 91   1974-76 11/25 1/60 Grande-Bretagne  
Instamatic 92
1974-76 11/25 1/60 Grande-Bretagne
Allemagne
 
Instamatic 125   1976-78 11/25 1/60 Grande-Bretagne  
Instamatic 130
1976-78 11/25 1/60 Grande-Bretagne
Allemagne
 
Instamatic 192
1975-76 11/25 1/40, 1/80 Grande-Bretagne
Allemagne
 
Instamatic 230
1976-78 11/25 1/50, 1/100 Grande-Bretagne
Allemagne
 
Tele-Instamatic 330
1975-78 11/25 et 11/43 1/50, 1/100 Grande-Bretagne  
Tele-Instamatic 430
 

1975-78

5,6/25 et 5,6/42 1/50, 1/100 Allemagne Cellule CdS
Tele-Instamatic 530
1976-78 5,6/25 et 5,6/42 20 à 1/300 Allemagne  

Modèles avec Flipflash
Ektra 1
1978-84 11/25 1/40 à 1/170 Etats-Unis  
Ektra 2
  1978-80 5,6/22 1/60 à 1/500 Etats-Unis  
Ektra 12
1978-81 11/23 1/40 à 1/250 Allemagne  
Ektra 22
1978-80 9,5/25 1/40 à 1/250 Allemagne  
Ektra 52
  1978-80 9,5/25 5 à 1/250 Allemagne  
Ektra 90
c. 1987-89 /22   Allemagne  
Ektra 100
1982-84 /22   Allemagne  
Ektra 200
1980-87 11/22 1/40 à 1/250 Allemagne  
Ektra 250
1980-83 9,5/25 1/50 à 1/250 Allemagne  
Star   1985 11/22 1/50 à 1/250 Brésil
Etats-Unis
 
Stylite   1979- 8/25 1/125, 1/210 Etats-Unis  
Tele Ektra 1
  1978-81 9,5/22 et 11/45 1/60 à 1/210 Etats-Unis
Canada
 
Tele-Ektra 2
1978-80 5,6/22 et 5,6/44 1/60 à 1/500 Etats-Unis
Canada
 
Tele-Ektra 32
1978-80 11/22 et 11/37 1/40 à 1/250 Grande-Bretagne  
Tele-Ektra 42
1978-80 11/22 et 11/44 1/40 à 1/250 Allemagne  
Tele-Ektra 300   1980-82 8/22 et 8/44 1/60 à 1/250 Etats-Unis  
Tele-Ektra 350
1980-83 8/22 et 8/44 1/60 à 1/250 Allemagne  
Tele-Instamatic 608
  1975-79 11/25 et 11/43 1/45, 1/125 Etats-Unis  
Tele-Instamatic 708
  1976-79 5,6/25 et 5,6/43 1/30 à 1/300 Etats-Unis  
Tele-Stylite   1980-82     Etats-Unis  
Gimini
1988 11/25 1/90 Etats-Unis  
Trimlite Instamatic 18
1975-79 11/25 1/40, 1/90 Etats-Unis  
Trimlite Instamatic 28
1975-79 8/25 1/30 à 1/160 Etats-Unis
Canada
Cellule CdS
Trimlite Instamatic 38
  1975-79 8/25 5 à 1/225 Etats-Unis  
Trimlite Instamatic 48
  1975-79 2,7/26 1/30 à 1/250 Etats-Unis Cellule CdS
Winner   1979 11/25 1/90 Etats-Unis  
Mickey-matic
c. 1980 11/25 1/90 Etats-Unis  

Modèles avec flash électronique
Ektra 12-EF
1980-81 11/23 1/40 à 1/250 Allemagne  
Ektra 22-EF
1978-80 9,5/25 1/40 à 1/250 Allemagne  
Ektralite 10
1978-88 8/25 1/125, 1/210 Etats-Unis  
Graffiti
1988 8/25 1/125, 1/210 Etats-Unis  
Ektralite 30   1979-81 5,6/22 1/100, 1/500 Etats-Unis  
Ektralite 400
1981-87 6,8/24 1/60 à 1/250 Allemagne  
Ektralite 450
1980-84 6,8/24 1/60 à 1/250 Allemagne  
Ektramax
  1978-81 1,9/25 1/30 à 1/350 Etats-Unis
Canada
 
Tele-Ektralite 20
1979-81 9,5/22 et 9,5/44 1/125, 1/210 Etats-Unis  
Tele-Extralite 40   1979-81 5,6/22 et 5,6/44 1/100, 1/500 Etats-Unis  
Tele-Ektralite 600
1980-82 8/22 et 8/44 1/125, 1/250 Etats-Unis Cellule CdS
Mickey-Matic
c. 1990     Chine  

Modèles pour flashes électroniques extérieurs
Mini-instamatic S30
1976-78 5,6/25 1/40, 1/80 Allemagne  
Mini-Instamatic S40
  1976-78 5,6/25 1/40, 1/80 Allemagne Cellule CdS
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Le corps et les caractéristiques sont ceux du Winner. L'utilisation de l'effigie et du nom de la plus célèbre des souris a dû booster les ventes.

Kodak Mickey-matic



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FlipflashFlipFlashFlipflash

Le Flipflash se présente sous la forme d'une barette verticale de 8 ampoules flash. A chaque extrémité, il y a un ergot pour le brancher sur l'appareil photo. Les huit ampoules sont séparées en deux séries, chacune correspondant à un des deux ergots. Après la combustion des quatre premières, il est nécessaire de pivoter à 180° la barette.
Le Flipflash offre l'intérêt d'éloigner l'ampoule de l'axe de l'objectif, ce qui réduit l'effet des yeux rouges.

Le brevet 3 937 946 publié le 10 février 1976, déposé par General Electric (inventeur Kurt H. Weber) présente le Flipflash. Il s'appuie sur plusieurs brevets antérieurs de flashes multi-lampes, mais disposés horizontalement.

Présentation du Flip-Flash dans Phot'Argus de novembre 1975 par Gérard Bouhot

Le Flip-Flash a été conçu par General Electric, et se dénomme exactement GE Flip-Flash. Flip veut dire en anglais «  chiquenaude, basculeur », et en fait, le Flip-Flash placé sur l’appareil permet 4 éclairs, puis il est retourné de haut en bas d’un simple geste (Flip), et permet 4 nouveaux éclairs.
Le Flip-Flash est un Magicube amélioré, à 8 éclairs, fonctionnant de la même façon sans pile.., et ceci sans percussion mécanique, ce qui permet un mécanisme de déclenchement des boîtiers très doux (ii n’y a plus de percuteur à actionner). Le secret de son fonctionnement tient dans l’appareil... Même nombre guide.

Un Flip-Flash est composé de plusieurs éléments  et sa taille hors-tout 139 x 44 x 13 mm, est comparable à celle des appareils Trimlite, pour le 18 : 115 x 54 mm. Poids 35g. Le fait d’avoir disposé les lampes à plat facilite le transport du Flip-Flash.
La forme allongée a été choisie pour pallier le défaut essentiel des 110 lors de l’usage au flash. Avec un Magicube, la lampe qui produit l’éclair étant située très près de l’objectif, lorsque le sujet regarde l’appareil et que la pièce est sombre, donc que ses pupilles sont dilatées, une partie de la lumière qui rentre dans ses yeux est réfléchie par la rétine en rouge vers l’objectif de l’appareil... d’où l’effet « d’yeux rouges » en couleur, et «d’yeux blancs » augmente encore l’entre-axe. (Des Extenders, néanmoins plus courts, sont prévus de la même façon pour les Magicubes.)
L’opérateur peut en complément allumer toutes les lumières disponibles sur le lieu de prise de vue, ce qui réduit le diamètre des pupilles du sujet. Il peut aussi conseiller au sujet de regarder l’une de ces lumières, ce qui réduit encore le diamètre des pupilles, et évite que la lumière réfléchie par la rétine ne se dirige vers l’objectif. (Ces deux précautions sont valables avec tout flash et tout appareil.)

Le Flip-Flash se fixe sur le support de l’appareil par simple encastrement.., il faut pousser relativement fort (environ 3 à 4 kg)... jusqu’à franc enclenchement... mais ceci assure par ailleurs un très bon maintien..., donc OK.
Un détrompage mécanique empêche totalement de placer le Flip-Flash sur l’appareil si les lampes ne sont pas orientées vers le sujet... Ce système bienvenu est néanmoins normal lorsque l’on a affaire â des novices en photographie... Pour retirer le Flip-Flash le basculer latéralement, c’est très facile. Si on le bascule en avant, et même en arrière, il se dégage aussi très bien, on ne peut casser sa patte de fixation dans le boîtier... Bien conçu !
Le capot antérieur bleuté en plastique semi-souple joue le rôle de pare- éclats en cas d’explosion d’une des lampes, elles-mêmes revêtues d’une couche de vernis plastique incolore très résistant. Malgré ces deux sécurités, il est recommandé de ne pas allumer de lampe à moins de 1 m d’un visage. Comme avec tout flash, il faut éviter l’emploi du Flip-Flash en atmosphère explosive.
Lorsqu’un Flip-Flash est placé sur l’appareil, à partir de la position de prise de vue, l’opérateur en voit la face arrière noire..., et c’est là qu’interviennent les GREEN GO DOTS = les points verts « vous pouvez y aller ». Dès qu’une lampe a été usée, ce point vert se volatilise et devient transparent. Ce système est aussi utilisé par General Electric pour les Flash-Bar produits pour Polaroid  et doit vraisemblablement dériver d’une licence Osram. Les points correspondant au groupe des lampes supérieures sont repérés 1 - 2 - 3 - 4. Un simple coup d’oeil («  At a glance ») et l’opérateur connaît le nombre de lampes restant à utiliser..., astucieux !.., mais il n’y a pas hélas de signal de fin d’un groupe de lampes apparaissant dans le viseur (en cela le Magicube est supérieur...). Les chiffres du groupe inférieur de lampes apparaissent à l’envers, rappelant qu’il faut « flipper cc le Flip-Flash avant de les utiliser. Un Flip-Flash peut évidemment être retiré ou replacé en cours d’usage, les Green go dots renseignant aussitôt sur le nombre d’éclairs utilisables dans chacune des 2 séries de 4 lampes (l’utilisation d’un Magicube entamé est plus délicate, car il faut tenir compte de son sens de rotation, automatique lors de l’armement, en cela le Flip-Flash est supérieur...).


Mais comment ces lampes s’allument-elles en série 1 - 2 - 3 - 4? Comment provient le courant à l’embase Flip-Flash?


Dans l’appareil, sous l’embase Flip- Flash, se trouve le mécanisme d’allumage de la lampe. Dans ce mécanisme, un marteau est armé et déclenché à chaque cliché (cf. illustration). A chaque choc, le cristal piézo-électrique délivre environ 3 000 à 10000 V, ce qui peut allumer une lampe... mais le débit est si faible, et dure si peu, qu’en plaçant un doigt même mouillé sur les contacts de l’embase (ce qui de plus n’est pas facile en raison de la forme de celle-ci) on ne ressent rien. Un cristal de 16 mm3 ne peut pas délivrer des ampères... OK.  Néanmoins cette énergie électrique à haut voltage est suffisante, grâce à l’étincelle qu’elle provoque dans l’ampoule entre les extrémités des 2 fils de connexion distants d’environ 1 mm, pour allumer la pastille d’amorçage de la lampe (cf. illustration). La combustion de celle-ci dans l’oxygène se propage au fil métallique qui produit l’éclair lumineux (très certainement du zirconium, en raison de la couleur du capot pare-éclats jouant le rôle de filtre de correction de température de couleur).
Reste l’aiguillage de l’impulsion d’une lampe à l’autre. C’est là que jouent les connecteurs thermiques ou aiguillages thermiques. Au repos, ils sont isolants et placés sous les lampes. Lorsqu’une lampe s’allume, elle produit de la lumière, c’est son rôle photographique, mais une grande partie de son énergie est perdue en chaleur. Dans le Flip-Flash celle-ci est partiellement utilisée. D’une part, elle assure la destruction du Green go dot correspondant, mais de plus elle grille le connecteur thermique qui est placé en-dessous et celui-ci devient conducteur. L’impulsion suivante le traversera et la lampe qui suit sera allumée (la lampe déjà utilisée n’étant plus conductrice, et de ce fait, n’étant plus en circuit, contrairement à ce qui a été écrit dans une revue américaine).
Léger inconvénient de ce système: si une lampe ne s’allume pas, les suivantes ne peuvent être utilisées (le fabricant remplace alors gratuitement le Flip-Flash), mais il semble que ce soit une éventualité ultra-rare. De nombreuses précautions ont été prises, d’autre part, par General Electric pour éviter l’allumage intempestif d’une autre lampe (cf. illustration).
Ce système autorise l’allumage en série rapide de 4 lampes, ce qui pourra être mis à profit pour la motorisation. D’autre part, des flashes accessoires à pile et condensateur (système capable aussi d’allumer un Flip-Flash) seront vraisemblablement rapidement produits (alors que c’était impossible avec les Magicubes et que cela a déjà été réalisé avec les Flash-Bar).
Le Mode d’emploi, au moins en ce qui concerne le modèle 18, préconise en cadrage vertical de placer le Flip- Flash vers la droite. Si le maintien de l’ensemble est légèrement plus facile ainsi, ceci conduit à une incidence de la lumière sur le sujet qui n’est pas naturelle..., l’éclairage doit provenir de préférence de gauche!...
Le système Flip-Flash se révèle astucieux; on peut néanmoins lui reprocher un encombrement très supérieur à celui de 2 cubes (mais il est plus plat), supérieur aussi à celui d’un Flash-Bar (108 x43 x 15 mm) qui est plat et offre 10 éclairs (ce qui correspond plus directement aux chargeurs de 10 et 20 vues), et il est relativement cher...
Kodak, dans le Mode d’emploi du Trimlite 18, écrit flipflash, en nom commun !... on n’en est pas encore là !... Seuls actuellement les 5 appareils Kodak Trimlite  et Tele-lnstamatic utilisent ce système !...
Néanmoins, c’est une conception sûrement à suivre...





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