Bonjour les amis,
Quand j'ai pris la photo de la centaurée, c'était samedi en fin de matinée ; j'étais dans le Luberon, 39/40°. Vers 18h30 j'ai voulu me rendre en bout d'un champ de lavande afin de photographier le village de Saignon oû habite mon fils avec cet objectif monté sur le Canon P, toujours aussi chaud même à l'ombre. Là j'ai eu peur, dans l'immense champ violet, seulement deux papillons, alors qu'habituellement il y en a des dizaines ET PAS UNE SEULE ABEILLE. Il y a quelques jours le quotidien "La Provence" indiquait qu' un apiculteur du Luberon a récolté du sirop rouge à la place du miel. Nous allons vers un désastre écologique.
Renaud : Gréolières, Saint-Vallier, L'Audibergue, que des coins privilégiés au-dessus de Grasse ; veinard.
Un truc pour boire le rosé frais, on place la bouteille dans un pot cylindrique en terre cuite poreux (gargoulette) rempli d'eau fraiche, la température va baisser lors de l'évaporation à travers la paroi. C'est ce que faisaient nos anciens pour boire frais.
Dernière minute pour Jacques : les traces laissées par les champignons peuvent être atténuées mais demeurent indélébiles. Si elles sont trop nombreuses, elle altèrent le piqué ; mieux vaut mettre l'objectif à la poubelle ou tenter de remettre une épave non atteinte en état, avec ce qui est récupérable sur l'objectif(bagues, fut, vis...)
D'accord pour le tuto si je dois re-démonter l'objectif. Ce n'est pas de la mauvaise volonté de ne pas l'avoir fait, c'est par condition d'éclairage peu satisfaisante et matériel pas prêt quand j'ai fait l'intervention.
Jean-Pierre
Minoltafan et autres...
Ne rien faire est difficile, on ne sait jamais si on a vraiment fini.