Ce reflex est un semi-automatique. Pour avoir une exposition correcte il faut régler la vitesse et le diaphragme de façon à amener l'aiguille visible dans le viseur au centre d'une échelle marquée d'un plus et d'un moins.

La vitesse se règle par le gros barillet qui se trouve sur le capot.
Le barillet sert également à l'indication de la sensibilité du film. Le fait d'avoir le réglage de vitesse et de sensibilité sur le même barillet amène une gêne lors du passage en vitesse lente avec une pellicule sensible. Cela oblige à désélectionner la vitesse.

Sur cet appareil, contrairement au ST801, il n'est pas possible d'effectuer les mesures diaphragme ouvert, y compris avec les objectifs EBC Fujinon.
L'interrupteur du posemètre est incorporé au testeur de profondeur de champ. Lors de la mesure de l'exposition il faut le presser, ce qui ferme le diaphragme.

Il y a eu trois générations de ST701.

A sa sortie, l'appareil ne propose pas de griffe porte-accessoire, le levier d'armement est intégralement en métal, le barillet des vitesses est en métal sauf sur la version noire où il est anodisé en noir, le logo Fujica est en relief et le levier de retardateur est en aile d'avion. Sur ces premiers modèles, le dépoli comprend un anneau de micoprismes au centre.

À la sortie du ST801, le look du ST701 est harmonisé sur celui du premier ST801. Le capot et le prisme sont redessinés permettant l'installation d'une griffe avec contacts pour flash, le levier d'armement reçoit une partie terminale en plastique articulée, le barillet des vitesse devient noir, le bouton du déclencheur est redessiné, le levier de retardateur est en "L". À partir de cette version, le dépoli gagne un stigmomètre.

À la sortie du ST901, le look de toute la gamme est modernisée. Le ST701 est donc modifié une seconde fois, et le ST801 est également légèrement modifié.

Cette troisième version se reconnait surtout au logo qui n'est plus embossé dans le fronton mais simplement peint en noir dans la défonce.
Les autres modifications sont plus subtiles, elles touchent surtout le gaînage.